Date de mise en place de l'ADIRQ le 11 novembre 1989, projets obtenus pour la gestion de l'Association de développement avant 2012:
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Projets importants de 2012 à aujourd'hui :
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PROJETS EN COURS :
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HISTORIQUE DU PROJET COMMUNAL : ECLAIRAGE DE LA PLACE DES SPORTS RQ :

Au cours de l'assemblée générale de l'ADIRQ en décembre 2012, un des membres présenta la question de l'éclairage de la place des sports de Racho Quemado et proposa de réaliser une demande à l'ICE qui fut l'idée de quelques uns auparavant mais qui ne s'est jamais concrétisée. L'équipe de direction l'a jugée être une bonne opportunité pour renforcer les activités sportives sur la commune ainsi qu'une facilité pour organiser les événements qui recueillent des fonts communaux additionnels dont se charge la secrétaire Jessica Roldan. Au début de l'année 2013, lors d'une sortie à Puerto Jimenez, elle se présente aux bureaux de l'ICE où on l'a d'abord questionnée sur l'affiliation du terrain de sport au nom de l'ADIQR. Ils lui indicèrent alors qu'il fallait présenter une demande de partie à l'ADIRQ pour laquelle elle se mit prestement à la rédiger à la main pour ne pas perdre de temps et que le processus s'enclenche.
Ensuite, elle et le reste de l'équipe envoyèrent par courrier électronique les documents demandés (un plan du terrain et autres) au département de développement ICE Rio Claro. Une visite d'inspection, réalisée par les ingénieurs de l'ICE eut lieu pour déterminer l'aptitude du terrain et ses dimensions, qui furent approuvés. Par la suite, une lettre d'information a été reçue disant que l'ICE assume la partie technique et l'exécution des travaux mais que ce serait à l'ADIRQ d'acheter le matériel requis. La liste du matériel fut alors présentée à l'équipe de direction pour un montant approximatif de 3500 000 colones. A ce moment là, l'association ne possédait pas le montant escompté. En effet, chaque année, elle reçoit 2 millions de colones pour couvrir les dépenses administratives et la mise en place de projets communaux. L'équipe eut l'idée de réunir des fonts en s'alliant au comité des sports de RQ. De cette manière, ils ont fait appel à des cotisations diverses de magasins de bricolage. La surprise fut générale quand le montant des cotisations atteignit les 9 millions de colones, plus de 3 fois le montant estimé initialement !
Malheureusement, entre temps, le montant du matériel avait évolué… A un moment décisif, l'équipe de direction de l'ADIRQ et le comité des sports ont dû reconsidérer le projet : continuer ou abandonner le projet ? Il y eut des opinions divergents mais le président de l'époque, don Johnny Rodriguez qui était pasteur chrétien, a redonné foi et espoir à tous en les motivant à surmonter le défi et, qu'avec l'aider de Dieu, ils réussiraient. Ainsi, chacun fut convaincu de l'importance de la tache qu'ils avaient à accomplir. Nuria Urena qui était, à ce moment là, trésorière du comité des sports, réalisa une demande de collaboration avec la municipalité de Osa, communiquant par téléphone dans un premier temps puis allant directement à leur rencontre afin de les motiver (malgré le fait qu'elle était à son dernier trimestre de grossesse). Le maire don Alberto Cole s'est engagé à appuyer le projet : il est venu personnelle remettre de chèque à la communauté. Cependant, après avoir été informé de l'augmentation du montant d'achat, il a été nécessaire de solliciter un peu plus d'apports des municipalités. Ceux qui ont compris la situation les ont aidés. De plus, l'équipe de football de Rancho Quemado s'est inscrite à un tournoi se déroulant sur 3 mois avec l'objectif de remporter le premier prix et de faire don de cet argent pour le projet. Enfin, Jessica présenta le projet à la Fondation Corcovado dans son programme FACOSA (fonds de soutient aux communautés d'Osa) qui apporte généralement une donation de 3 milles dollars aux projets de conservation. Ce fut tout un défi de démontrer que l'éclairage de la place des sports pouvait contribuer à la conservation. L'argument principal fut l'importance du loisir au cœur de la réserve forestière, un milieu vulnérable aux activités humaines intensives mais aussi un lieu de vie social qui requière des activités saines, récréatives, en lien avec la nature et qui donnent l'opportunité de générer des fonds soutenant les travaux communaux ainsi améliorant la qualité de vie de ses habitants.
Le projet fut approuvé mais ce fut aussi une pression additionnelle car, selon les clauses, ils n’avaient que 3 mois de délai d'exécution (achat du matériel + travaux). Finalement, l'ADIRQ apporta tous les fonds disponibles pour réussir à compléter le montant. L'achat du matériel eut lieu chez le meilleur offrant (transport inclus), dans le magasin de bricolage de Perez Zeledon.
Toute la communauté était ravie et se réunit pour solliciter ICE afin que l'organisme envoi un technicien sur place pour la réception du matériel (car sur place personne n'avait de grandes connaissances sur le fonctionnement de l'éclairage public). Heureusement, tout s'est déroulé comme prévu. Le matériel avait été bien reçu, des photos ont été prises, il ne restait plus qu'à attendre l'équipe de constructeurs de l'ICE. Seulement, quand les constructeurs sont arrivés, il manquait 4 « arriostres » (quelque chose pouvant fixer les lampes aux pilons). Sans ce matériel, ils ne pouvaient terminer le projet, mais le pire était qu'ils n'avaient plus assez d'argent pour pouvoir l'acheter. Ils expliquèrent alors la situation au bureau de développement de projets d'ICE. Après avoir consulter la boutique de bricolage, ils se rendirent compte avec les articles manquants étaient indisponibles dans le pays et qu'ils n'avaient en fait pas été facturés. Le technicien qui avait été chargé de recevoir le matériel n'avait pas fait la comparaison avec la liste fournie pour l'ICE. Face à toutes ces circonstances, la grâce de Dieu a permis à l'ICE d'apporter les pièces manquantes et d'exécuter le projet la dernière semaine du délai des 3 mois. Le 27 juillet 2014, l'inauguration de l'éclairage public eut lieu avec une prière de grâce du pasteur et président Johnny Rodriguez, l'équipe de direction de l'ADIRQ et du comité des sports de RQ. Rancho Quemado fut la première communauté dans la Péninsule Osa a avoir porté un tel projet qui a été d'un grand bénéfice social et économique pour la communauté et ses visiteurs.
Ensuite, elle et le reste de l'équipe envoyèrent par courrier électronique les documents demandés (un plan du terrain et autres) au département de développement ICE Rio Claro. Une visite d'inspection, réalisée par les ingénieurs de l'ICE eut lieu pour déterminer l'aptitude du terrain et ses dimensions, qui furent approuvés. Par la suite, une lettre d'information a été reçue disant que l'ICE assume la partie technique et l'exécution des travaux mais que ce serait à l'ADIRQ d'acheter le matériel requis. La liste du matériel fut alors présentée à l'équipe de direction pour un montant approximatif de 3500 000 colones. A ce moment là, l'association ne possédait pas le montant escompté. En effet, chaque année, elle reçoit 2 millions de colones pour couvrir les dépenses administratives et la mise en place de projets communaux. L'équipe eut l'idée de réunir des fonts en s'alliant au comité des sports de RQ. De cette manière, ils ont fait appel à des cotisations diverses de magasins de bricolage. La surprise fut générale quand le montant des cotisations atteignit les 9 millions de colones, plus de 3 fois le montant estimé initialement !
Malheureusement, entre temps, le montant du matériel avait évolué… A un moment décisif, l'équipe de direction de l'ADIRQ et le comité des sports ont dû reconsidérer le projet : continuer ou abandonner le projet ? Il y eut des opinions divergents mais le président de l'époque, don Johnny Rodriguez qui était pasteur chrétien, a redonné foi et espoir à tous en les motivant à surmonter le défi et, qu'avec l'aider de Dieu, ils réussiraient. Ainsi, chacun fut convaincu de l'importance de la tache qu'ils avaient à accomplir. Nuria Urena qui était, à ce moment là, trésorière du comité des sports, réalisa une demande de collaboration avec la municipalité de Osa, communiquant par téléphone dans un premier temps puis allant directement à leur rencontre afin de les motiver (malgré le fait qu'elle était à son dernier trimestre de grossesse). Le maire don Alberto Cole s'est engagé à appuyer le projet : il est venu personnelle remettre de chèque à la communauté. Cependant, après avoir été informé de l'augmentation du montant d'achat, il a été nécessaire de solliciter un peu plus d'apports des municipalités. Ceux qui ont compris la situation les ont aidés. De plus, l'équipe de football de Rancho Quemado s'est inscrite à un tournoi se déroulant sur 3 mois avec l'objectif de remporter le premier prix et de faire don de cet argent pour le projet. Enfin, Jessica présenta le projet à la Fondation Corcovado dans son programme FACOSA (fonds de soutient aux communautés d'Osa) qui apporte généralement une donation de 3 milles dollars aux projets de conservation. Ce fut tout un défi de démontrer que l'éclairage de la place des sports pouvait contribuer à la conservation. L'argument principal fut l'importance du loisir au cœur de la réserve forestière, un milieu vulnérable aux activités humaines intensives mais aussi un lieu de vie social qui requière des activités saines, récréatives, en lien avec la nature et qui donnent l'opportunité de générer des fonds soutenant les travaux communaux ainsi améliorant la qualité de vie de ses habitants.
Le projet fut approuvé mais ce fut aussi une pression additionnelle car, selon les clauses, ils n’avaient que 3 mois de délai d'exécution (achat du matériel + travaux). Finalement, l'ADIRQ apporta tous les fonds disponibles pour réussir à compléter le montant. L'achat du matériel eut lieu chez le meilleur offrant (transport inclus), dans le magasin de bricolage de Perez Zeledon.
Toute la communauté était ravie et se réunit pour solliciter ICE afin que l'organisme envoi un technicien sur place pour la réception du matériel (car sur place personne n'avait de grandes connaissances sur le fonctionnement de l'éclairage public). Heureusement, tout s'est déroulé comme prévu. Le matériel avait été bien reçu, des photos ont été prises, il ne restait plus qu'à attendre l'équipe de constructeurs de l'ICE. Seulement, quand les constructeurs sont arrivés, il manquait 4 « arriostres » (quelque chose pouvant fixer les lampes aux pilons). Sans ce matériel, ils ne pouvaient terminer le projet, mais le pire était qu'ils n'avaient plus assez d'argent pour pouvoir l'acheter. Ils expliquèrent alors la situation au bureau de développement de projets d'ICE. Après avoir consulter la boutique de bricolage, ils se rendirent compte avec les articles manquants étaient indisponibles dans le pays et qu'ils n'avaient en fait pas été facturés. Le technicien qui avait été chargé de recevoir le matériel n'avait pas fait la comparaison avec la liste fournie pour l'ICE. Face à toutes ces circonstances, la grâce de Dieu a permis à l'ICE d'apporter les pièces manquantes et d'exécuter le projet la dernière semaine du délai des 3 mois. Le 27 juillet 2014, l'inauguration de l'éclairage public eut lieu avec une prière de grâce du pasteur et président Johnny Rodriguez, l'équipe de direction de l'ADIRQ et du comité des sports de RQ. Rancho Quemado fut la première communauté dans la Péninsule Osa a avoir porté un tel projet qui a été d'un grand bénéfice social et économique pour la communauté et ses visiteurs.
HISTORIQUE DU PROJET COMMUNAL DU SENTIER SENSORIEL
Le projet a été initié en 2017 suite à la visite de quelques groupes de jeunes étrangers qui n'avaient pas une condition physique adaptée à un tel milieu notamment pour marcher pendant 3-4 heures. De plus, certains étaient infirmes et la chaleur les affectait beaucoup. Ainsi, le Comité de veille biologique s'est penché sur la question de créer une option de parcours plus près du centre du village et identifia rapidement un terrain. Bien qu'il soit petit et fermé dans un petit bosquet en galerie, il est limitrophe d'une parcelle du MINAET (Ministère de l'environnement et de l'énergie du Costa Rica) sur laquelle est présente une forêt en restauration jusqu'aux hauteurs de la montagne où se maintient une végétation primaire. Cette dernière représente le potentiel à développer dans les étapes suivantes du projet. De plus, à ce moment là, Roberbal Almeida entra en scène, biologiste brésilien qui perdut la vue à cause d'un travail de recherche sur des félins. Amoureux de la nature, il exprima sa nécessité de rester connecté avec la forêt et de créer des opportunités pour des personnes en conditions limitées afin qu'ils aient l'expérience d'un contact et la jouissance des sous-bois. Il reçut l'appui de l'architecte Lura Philips, celle qui faisait préalablement partie de l'équipe Piosa-UCR. Conjointement, ils proposèrent à la communauté un premier dessin du sentier dans la partie plane en face de la route publique avec différentes zones consacrées aux sens qui sont le touché, l'odeur, l'écoute, le goût et la vue. Le projet fut présenté à l'Association ADIRQ qui appuya complètement l'initiative en l'incluant à son programme de tourisme rural. Ensuite, Katlyn Tovar, volontaire chez « cuerpo de paz » travailla pendant 2 ans dans la communauté et s'impliqua grandement dans le projet en le partageant à la Fondation CRUSA dans l'espoir de recevoir une donation qui permettrait de construire une première étape du sentier et des sanitaires. De plus, ils reçurent l'aide de groupes de volontaires qui collaborèrent avec la main d’œuvre locale avec de petits apports économiques pour permettre l'achat du matériel.
Ces ressources ainsi que la main d’œuvre ont couvert le Comité de contrôle biologique, ce qui a était un vrai défi car ils travaillent comme administrateurs dans le projet « adonorem » et ils se sont efforcés pour lui donner un soutient et continuer d'avancer dans la mise en place des étapes suivantes tout en prenant conseil des organisations reconnus comme Fondateurs Yire, UCR, Osela Conservation. Récemment, ils ont reçu l'approbation d'un projet conjoint avec Birds présenté à l' Canje Deuda CR-USA pour fortifier le projet de la pépinière, projet complémentaire au sentier pour la conservation d'espèces d'arbres endémiques en voix de disparition et ornementales de la région pour pouvoir arranger les différentes zones du sentier sensoriel tout en embellissant l'espace public ainsi que de soutenir les initiatives touristiques de ce type. Tout cela fut planifiée par étape, disposant de cartes et de dessins élaborés, reposant sur les propositions d'un travail commun que ce soit par les bénévolats et des groupes de visiteurs. |
SENTIER SENSORIEL
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